PARCOURS
Diane Cholley a exercé au sein de whyarchitecture pendant 17 ans en tant qu’associée fondatrice et gérante (2006 à 2023). Elle a reçut la nomination au prix Jeune Femme Architecte (ARVHA 2014) et le prix national de la construction bois pour la construction de logements en ossature bois dans le secteur sauvegardé de Bordeaux (33) en 2017.
Suite à sa formation au DSA (Diplôme Supérieur d’approfondissement) en Architecture du Patrimoine à l’Ecole de Chaillot (Paris, Cité de l’Architecture), elle s’installe en 2023 pour se spécialiser dans l’intervention sur le bâti ancien. La maturité d’une architecte s’exprime par son humilité face au contexte d’intervention.
Conserver le « déjà-là » ne se limite pas à la réhabilitation.
D’une part construire un bâtiment neuf nécessite de s’ancrer dans un contexte existant et de s’insérer dans un environnement qui a sa propre histoire. D’autre part, les interventions d’architecture contemporaine permettent de redonner vie à des lieux délaissés
Château de Ponchartrain (78) : étude patrimoniale et projet
Cahors, Ilot Chicot Mendès (46) : étude et projet patrimonial
Construction neuve et agencement
Rénovation transformation d'un immeuble en Hôtel de prestige
De son fort lien avec le Japon et l’Océanie où elle a vécu, Diane a ramené cette attention à la patine, aux effets du temps qui passe (le wabi) mais surtout à la trace du geste artisanal (le sabi). Chaque projet est co-construit avec le client (Maitre de l’ouvrage) et les artisans assurant la réalisation.
« Je crois à l’unité, à la persistance, à la logique : à l’adhésion d’hier avec demain. »
Victor Hugo
NOS VALEURS
Le wabi-sabi est une philosophie japonaise qui relie les notions de wabi (l’humilité face au temps qui passe) et sabi (la patine et l’imperfection).
Le wabi fait référence à la modestie que l’on peut éprouver face aux phénomènes naturels. En architecture il s’applique à la durabilité et la pérennité.
La trace du geste.
Le sabi s’appuie sur la sensation face aux choses dans lesquelles on peut déceler le travail des hommes. En architecture, il s’applique à l’artisanat (la trace du geste) et à la réutilisation des matériaux ou des architectures.